Gouttes d’eau de pluie sur les
carreaux des fenêtres
Comme voix des poésies de la
nature
D’après le Tao
Ils ont des oreilles et ils
n’entendent pas ; ils ont des yeux et ils ne voient pas. Ainsi l’Homme se
porte.
Pour une partie parce que nous sommes, chacun, plus ou moins réceptifs à
ce qui nous entoure mais, aussi, parce que la société, que nous favorisons
telle qu’elle va, nous obnubile par ses propositions cupides et nous empêche de
voir le beau.
Alors que le beau, l’agréable ou
l’onirique, est partout autour de nous. Et même, les publicistes s’en servent…
Mais, à force de le voir dans les réclames on finit par l’assimiler à du
commerce.
Nous n’avons plus les mêmes valeurs
et, nous ne nous accordons plus le droit de rêver. Nous ne faisons plus une
pause si ce n’est « prendre un droit » qui nous a été accordé telle
une obligation. Une obligation pour être plus performant, pour travailler plus,
pour être plus productif, etc.
Et l’humain, dans tout
cela ?
Il se fabrique une carapace pour résister en lisant des romans
« soupe » ou en regardant des émissions « réchauffé » de
télé selon la part de cerveau qui nous reste libre après une journée de travail
répétitif et annihilant.
Pourtant, sans acheter les livres
des vrais écrivains originaux ou de ceux qui ont remplacé les émotions par le
travail, il suffit de prêter l’oreille à la nature. Tout est là, autour de
nous. S’arrêter, pour écouter, pour regarder, pour voir et percevoir cette
goutte d’eau qui ruisselle sur le carreau de la fenêtre…
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